Le Palmarès des Villes Romandes

l’IDHEAP et l’Hebdo ont sorti un palmarès abérant des villes romandes où il fait bon vivre où Bulle, Nyon et Pully sortent en premier. Les indicateurs pris en compte ainsi que leur prise en compte sont plus que contestable. La méthodologie définie la condition de vie et environnement en fonction de la densité de population (plus il y a d’habitants au mètre carré, plus c’est préjudiciable à la qualité de vie?). Le dynamisme économique est calculé sur la base des bilans migratoires (sans définir qui et pour faire quoi?) ou alors les proportion de salariés du secteur tertiaire (sevice=bonheur?? et la creative class?). Le critière culturelle et social se fonde sur les dépenses faites par les villes des ces secteurs (les dépenses cantonales n’influencent en rien?). Un bohemian factor serait beaucoup plus représentatif de l’activité culturelle et sociale par exemple. Il est néamois intéressant de voir apparaitre un critère “sense civique” (même s’il n’est pas présenté comme cela). Le choix des indicateurs sur la base du postulat “plus les gens sont intégrés et plus ils participent à leur devenir” m’a plutôt fait pensé à un autre critère que je nommerais “indentification à sa ville”.